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DMLA-Dépôts Drusenoides « P »: Etude des densité, structure, volume des Dépôts Drusenoides « P » (type protéinique-cellulaire), et de leur évolution avec le Morphology-Structural Software

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Orateurs :
Dr Corinne GONZALEZ
Auteurs :
Dr Corinne GONZALEZ
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Résumé

Introduction

Les densité, structure, volume, des dépôts drusenoides « P » de la DMLA et leur évolution sont  étudiés avec le M-S Software. Les intérêts physiopathologique et etiopathogenique de ces analyses sont évalués.

Patients et Methodes

244 yeux de 124 patients, présentent des Dépôts drusenoides de DMLA: « P » (drusen cuticulaires, DMLA pseudo vitelliforme, Pseudo drusen reticulés(subretinal drusenoid deposits:SDD), DEP drusenoide« P »). Les dépôts drusenoides sont étudiés avec la tomographie confocale optique (SLO Spectralis HRA-OCT, Spectral domain OCT),OCT en Face et le M-S Software qui permet une évaluation, une caractérisation des dépôts drusenoides (volume, contours, reconstruction 3D, analyse, différentiation, discrimination) et des mesures: densité (niveau de gris des dépôts), structure (paramètres de structure, de texture), volume(µm3), Les examens sont réalisés tous les 6 mois pendant 5 ans. 

Résultats

Les Dépôts drusenoides « P » sont denses, blancs, hétérogènes, granulaires, cellulaires, protéiniques, différents sur toutes les coupes OCT/OCT en Face. Le M-S Software montre une densité de valeur moyenne, chaque paramètre de densité ayant ses valeurs, courbes et cycle d’évolution spécifiques, chacun étant caractéristique et différent. Une similitude entre les 2 yeux est également notée. Structure et volume ont également leurs propres courbes, évolution, cycles d’évolution avec, là également, une similitude entre les 2 yeux. 

Discussion

L’analyse du contenu des dépôts drusenoides « P » : densité (moyenne et différents paramètres de densité), structure, volume, avec et grâce au M-S Software permet une meilleure analyse et compréhension de ces dépôts, de leur physiopathologie et etiopathogénie, et également de leur évolution et potentiel évolutif, celui-ci se faisant généralement plutôt vers la neovascularisation. 

Conclusion

Une meilleure analyse et connaissance des dépôts drusenoides « P » de la DMLA , en particulier grâce au M-S Software permet de mieux concevoir leur physiopathologie, leur etiopathogénie et l’élaboration de différentes hypothèses